La vie que j’ai moi-même choisie

Descriptif

La vie que j’ai moi-même choisie

Qu’est-ce que la vie en réalité ? Et pourquoi chacun a-t-il une vie différente ? Le hasard existe-t-il ? Pourquoi suis-je né dans cette famille et pas dans une autre? Pourquoi est-ce que je rencontre toujours le même type de personnes ? Suis-je livré à mon destin? Qui l’a décidé? Comment le changer?

Gabriele, la prophétesse et messagère de Dieu, explique dans ce livre que notre vie va bien au-delà de ce que nous percevons en général ! Elle nous aide à comprendre en profondeur les évènements de notre vie et nous montre aussi comment en changer le cours.

Extrait de la table des matières :

• Dieu est la vie infinie et éternelle d’où est né l’univers • De la responsabilité de l’homme pour son comportement, ses valeurs, son chemin de vie aux conséquences fatales, également pour son âme dans l’au-delà • La loi causale • Saisir et analyser les indications données par l’énergie du jour • Mettez à profit vos journées !

Extraits du livre :

Chacun détermine lui-même la valeur de sa vie sur Terre, une vie qu’il façonne par son comportement envers ses semblables, envers les animaux, les végétaux et la planète  tout entière. Le comportement d’une personne est constitué de la somme de ses  sensations, sentiments, pensées, paroles et actes, de tout ce qu’elle ressent, pense, dit et fait, jour après jour. Tout cela se grave dans son corps. Peu à peu elle devient ces aspects et son âme se transforme en conséquence. Donc, ce que chacun appelle « sa vie » est en fait la somme des aspects positifs – c’est-à-dire en accord avec la volonté de Dieu – dont il enrichit son âme et son corps, et des aspects moins positifs, donc négatifs, qu’il leur impose.

Un poème qui donne à réfléchir :

« La vie que j’ai moi-même choisie »

Avant de commencer ma vie sur Terre, on m’a montré à quoi elle ressemblerait ; j’en ai vu les afflictions, les chagrins, la misère et les fardeaux de souffrance. J’ai vu le vice m’accabler, l’erreur m’emprisonner. J’ai vu la colère dans laquelle je m’emporterai, la haine et l’orgueil, la fierté et la honte. Mais j’ai vu aussi les joies de jours remplis de lumière et de beaux rêves, où il n’y a plus ni plaintes ni plaies et où partout coule la source du don, où l’amour offre la félicité de la liberté à celui qui est encore prisonnier de l’habit terrestre ; des jours où l’homme s’arrache des tourments de l’être humain pour penser comme un élu d’esprits élevés. On m’a montré les bons et les mauvais côtés, on m’a montré la quantité de mes faiblesses. On m’a montré la plaie par laquelle je saigne. On m’a montré l’aide donnée par les anges. Alors que je regardais ainsi ma vie future, j’entendis un être me demander si j’allais oser la vivre, car l’heure de la décision avait sonné. Après en avoir mesuré une nouvelle fois tous les mauvais côtés, j’ai donné ma décision d’une voix ferme : « Oui, c’est la vie que je veux vivre ! » Et dans le silence, j’ai pris sur moi mon nouveau destin. C’est ainsi que je suis né dans ce monde, c’est ainsi que cela s’est passé quand je suis entré dans cette nouvelle vie. Je ne me plains pas, même si souvent beaucoup de choses ne me plaisent pas, car avant de naître j’ai dit oui.  poème dont l’auteur est inconnu, attribué à Hermann Hesse